As-tu inconsciemment la CULTURE de la DÉFAITE ?

Aujourd’hui, je tiens à te partager cet écrit rédigé avec le coeur…

As-tu déjà remarqué à quel point je veille à rester le plus neutre possible dans mes lettres et vidéos ?

Permets-moi aujourd’hui de m’adresser à toi sans filtre.

Certaines de mes émotions me poussent à écrire ces lignes, et j’espère aller droit au but.

Rassure-toi je ne compte pas faire du prosélytisme comme certains de tes contacts Facebook.

Si à la fin de ce message, tu fermes ton smartphone ou ton ordi en gardant à l’esprit une des idées que je vais te partager, j’aurai en parti réussi ma mission du jour.

On vit moins bien que nos parents

Tu l’as constaté, en ce moment ça n’était pas la joie dans notre pays.

Et le climat actuel me rappelle un sondage qui disait qu’on est 54 %, contre 17 % en 2002, à juger notre situation moins bonne que
celle de nos parents au même âge.

Á côté de ça, vouloir faire de l’argent n’est ni choisi par la majorité des Français ni encouragé par la société même si ça reste une bonne chose. (Être paradoxal est une nature chez certains d’entre nous.)

Et as-tu remarqué que l’on est prêt à entendre n’importe quoi du moment que ça soulage.

Depuis des années, on nous propose de vivre petitement sur nous-mêmes.

Le vocabulaire est le miroir de l’âme

D’ailleurs le mot « petit » est le mot préféré des français.

Constate à quel point tout le monde autour de toi l’utilise.

Même toi, moi, tout le monde !

Un petit café avec le ou la petite ami(e) dans un petit resto avec des petits prix…

On met ce mot à toutes les sauces et c’en est devenu une habitude.

Si on admet que les mots sont le reflet de notre état d’esprit, il est clair que l’on ne voit pas les choses en grand et pourtant ça serait tellement plus motivant.

Pourquoi tout devrait être petit, infime ou médiocre ?

Mieux vaut donner plus d’ambitions à ses rêves, à ses projets ou rester dans la modestie ?

Je suis un grand rêve avec un grand but depuis le début d’Osez Briller et ça me mobilise, ça me donne l’énergie nécessaire pour surmonter les obstacles qui se dressent sur mon chemin.

Et ça fait 4 ans que ça dure !

Malheureusement, ça n’est pas le cas de tous.

Le gène du péssimisme

Dès que l’on rencontre une difficulté, on lui donne une telle importance que l’on arrive à se convaincre qu’elle nous bloquera dans notre objectif et qu’il n’existera aucune alternative.

Parce qu’en France on ne nous encourage pas à rêver grand et à penser que tout est possible.

Il faut vivre petit, dans la modestie et souvent dans la médiocrité.

  • Est-ce que c’est cette vision de la vie qu’on te propose que tu souhaites ?
  • Est-ce que c’est cette vision qui te fait rêver ?
  • À rester peinard, à s’enfermer sur soi, figé dans l’immobilisme par peur de l’échec, de l’inconnu, du changement ?

Je sais que dehors il y a la guerre, le terrorisme, je te rappelle que j’ai failli perdre mon cousin au Bataclan.

Il en est ressorti indemne au bout de deux heures, il en a même écrit une BD ; « Mon Bataclan ».

Alors où je veux en venir ?

La culture de la défaite française

Cela fait de nombreuses années que l’on entretient cette culture de la défaite à coup de haine, de peur, de pessimisme, de manque de remise en question et de politique de l’autruche.

Et en France, on est fort pour mettre les vrais problèmes sous le tapis.

Dans nos vies c’est pareil, on se raconte des bobards à longueur du temps, en se demandant « à qui la faute ? »

Au lieu d’assumer les conséquences de nos choix et de faire avec en vivant avec notre temps.

Et là, à ce moment précis, si j’avais eu quelqu’un en face de moi en désaccord avec ce que je viens de dire, j’aurai eu droit à :

« D’accord et tu proposes quoi ? »

Tu sais ce type de question où l’on attend que la solution provienne des autres.

Tout comme les personnes qui me contactent en me demandant « quoi faire dans leur vie ? » ou « quel métier choisir ?« .

« Je n’en sais rien ! Je suis coach, pas un guru devin. Prends tes responsabilités et n’attends rien de quelqu’un d’autre que TOI ! »

L’esprit critique pour vaincre la culture de la défaite

On est tous dotés d’esprit critique.

Un esprit critique qui nous sert à ne pas tomber dans la pensée unique et les croyances limitantes.

Un esprit critique qui nous permet de refuser la fatalité, de trouver des solutions et des alternatives aux problèmes que l’on rencontre.

Et c’est ce que l’être humain a toujours fait.

Á force de toujours être dans le problème on en voit partout.

Ça en devient une habitude, qui donnera l’impression qu’ils se multiplient jusqu’à altérer ta vision de la réalité.

Il y a encore aujourd’hui beaucoup de gens qui pensent être impuissants à leur échelle.

Des gens qui pensent que le changement viendra d’en haut.

  • Est-ce que tous ces villages qui ont développé leur propre monnaie ont attendu l’état pour revitaliser leur économie locale ?
  • Boyan Slat, à l’époque étudiant, a-t-il attendu une action politique pour mettre en place son projet de nettoyer les océans ?
  • Est-ce que tous les porteurs de projet présents sur les sites de crowdfunding attendent que leur projet soit proposé par les politiques ?

Tu le sais que nos conditions ne changeront pas en mieux grâce à de quelconques réformes dont la seule intention de ceux qui les créent est uniquement de laisser une trace de leur passage en créant des lois qui portent leur nom.

Si tu n’aimes pas ta vie, change-la !

N’attends pas que quelqu’un d’autre le fasse pour toi.

L’argent, cette monstruosité !

Autre chose, les croyances limitantes françaises vis-à-vis du succès, de la réussite et de l’argent amènent certains à rêver de changement ou
à mettre la responsabilité de leur réussite dans les mains d’un patron, d’un politique ou de toute autre personne extérieure à lui-même.

Je parlais au début de la question de faire de l’argent.

Tu as remarqué en France que l’on va afficher ses intentions politiques, mais pas son salaire.

Il y a cette idée reçue chez nous que si quelqu’un part de rien et fait fortune il est jugé suspect.

On va aussi attaquer les personnes qui sont décomplexées de l’argent.

Et on va mettre dans le même panier ceux qui ont l’ambition d’en faire.

Notre culture française a reçu l’héritage de cette vieille idée catholique de méfiance envers l’argent.

Il n’y a qu’à prendre l’expression « gagner de l’argent ».

Pourquoi gagner ? Il y a une question de hasard ?

Tu ne mérites pas ton argent ?

La jalousie le moteur de la culture de la défaite

On est à l’opposé des anglophones qui eux vont dire « make money » faire de l’argent et où la réussite personnelle est valorisée et non jalousée comme chez nous.

Si tu es envieux de la réussite des autres, lance-toi, vas créer de la valeur !

Qu’est-ce qui t’en empêche ?

Dans la croyance populaire française faire beaucoup d’argent et vite, paraît condamnable.

Bien sûr, tout le monde aime l’argent, mais on n’aime pas celui des autres.

Malheureusement entreprendre ne fait pas l’unanimité chez nous.

Car prendre des risques fait peur et la mentalité de beaucoup de Français est d’être peinards.

Sache que tout repli et toute crainte nous ralentissent.

Je sais qu’il y a des tensions et des fractures, parce que beaucoup se sentent de plus en plus abandonnés. Je le sais !

Mais, ne cèdes pas au désespoir et aux crispations.

À toi de façonner ta propre existence par tes propres choix, ça ne dépend que de toi !

À toi d’imaginer à quoi ressemblerait ta vie
si tu remplaçais le mot :
– Souffrance par plaisir
– Peur par confiance
– Jalousie par courage
– Tristesse par joie

Alors à toi d’embrasser l’avenir plutôt que de lui tourner le dos !

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